« Wendy Delorme nous livre (enfin !) une dystopie aux enjeux — et personnages — LGBT, queer, féministes, convoquant avec malice Wittig et Preciado. »
Les Mots à la Bouche
« Une dystopie absolument géniale qui résonne profondément dans notre quotidien. L’écriture est sauvage, poétique et en attendant que vienne le temps du feu, passer du temps avec les personnages de Wendy Delorme est un pur bonheur. »
La Galerne
« La dystopie écofeministe de Wendy Delorme, entre Atwood, 84, Fahrenheit 451 et Gattaca, peut-être plus proche de nous encore hélas, et qui nourrit, en même temps qu’une angoisse certaine, des rêves horizontaux de réinvention de soi, et d’une puissante sororité. […] À ses marges intérieures et extérieures, sourdent des résistances lumineuses… »
Le Pied à terre
« Six voix, six personnes qui luttent pour ne pas flancher face au chaos. Un incroyable roman choral. »
La Manœuvre
« Une dystopie féministe qui résonne avec notre actualité, des communautés résistantes inspirées des Guérillères de Wittig et d’Un appartement sur Uranus de Preciado. Un appel à lutter poétique et brûlant ! »
Le Monte-en-l’air
« Une dystopie emplie de résistances poétiques écrite dans une langue incandescente. »
Un podcast à soi
« Parce que son texte est magnifique, parce qu’elle a le cœur pur et le feu, parce que Wendy Delorme est une grande autrice. »
Ovidie
« Son magnifique roman choral parvient à faire germer en nous la graine vitale dont nous avons plus que jamais besoin : celle de l’imaginaire. »
Axelle Magazine
« Coup de cœur ! Je m’attendais à de la rage à chaque page et finalement c’est l’amour, la sensualité et l’espoir qui m’a transportée durant toute ma lecture. Une dystopie féministe finement politique et salutaire !! »
Le Comptoir des Mots
« Dans le sillage de Monique Wittig, Wendy Delorme fait vivre des communautés autonomes où sororité, féminisme et détermination se mêlent pour sortir de la sidération. »
Karine Mauvilly, revue Terrestres