Le jeu des hirondelles – édition augmentée

22,50

Mourir, partir, revenir

« En avril 2006, sur le site internet de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA), je suis tombée sur un reportage tourné à Beyrouth en 1984.
Les journalistes interrogeaient les habitants d’une rue située à proximité de la ligne de démarcation, qui coupait la ville en deux. Une femme, bloquée par les bombardements dans l’entrée de son appartement, a dit une phrase qui m’a bouleversée : ‘Vous savez, je pense qu’on est quand même, peut-être, plus ou moins, en sécurité, ici.’

Cette femme, c’était ma grand-mère. »

À l’heure où les murs de Beyrouth reprennent la parole, Zeina Abirached revient sur l’histoire de son premier roman graphique, et du graffiti qui en a inspiré le titre, dans cette nouvelle édition augmentée d’un texte illustré.

En cours de réimpression

Auteur·trice

zeina abirached cambourakis

Zeina Abirached

Née à Beyrouth en 1981, Zeina Abirached a fait des études de graphisme au Liban puis à Paris, aux Arts décoratifs. Avec [Beyrouth] Catharsis et 38, rue Youssef Semaani, les éditions Cambourakis ont lancé le catalogue BD. Son album Mourir Partir Revenir, le Jeu des hirondelles, sélection Angoulême 2008, connaît un très large succès public et critique et a été réédité dans une version augmentée en 2020.

Presse/Actualités

« Savoureuse et attachante galerie de portraits […] Le Jeu des Hirondelles est surtout un authentique et oppressant huis clos. Un drame en chambre ou tout se passe hors champ, et dont Zeina Abirached excelle à rendre, graphiquement ; la tension. »
   – Télérama

« Ce Jeu des Hirondelles est un beau livre qui explore la mémoire de la guerre, de la famille et […] pose les questions de l’ailleurs, de l’exil et du rapport au pays quitté, au lointain. »
   – Les Inrockuptibles

« La vie est toujours la plus forte même dans les situations extrêmes… C’est ce que l’on se dit en refermant Mourir, partir, revenir. Le jeu des hirondelles, le chef-d’œuvre de Zeina Abirached. »
   – Le Temps (Suisse)

« Ce titre est un choc typographique. Une petite voiture noire, circulant au bas de la silhouette urbaine d’une page blanche, résume combien la guerre est un vide qui mange la mémoire. »
   – Le Soir (Belgique)

Catégories : ,

Newsletter

Si vous souhaitez recevoir des nouvelles des éditions Cambourakis, inscrivez-vous !

Votre adresse de messagerie est uniquement utilisée pour vous envoyer notre newsletter. Vous pouvez à tout moment utiliser le lien de désabonnement intégré dans la newsletter.

En savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.

Mise à jour…
  • Votre panier est vide.