Terres de sang

13,50

Traduit par

Né dans un village grec d’Anatolie, Manolis est envoyé à Smyrne par son père pour y apprendre le commerce.Pensant y trouver une forme de vie paradisiaque, il se trouve vite enrôlé dans l’armée ottomane, pour rejoindre un bataillon d’ouvriers, lorsque la Première Guerre mondiale éclate. En tant que non-musulman, il reçoit un traitement particulièrement rude… avant d’être réintégré dans l’armée grecque, où il connaîtra la défaite face à Mustapha Kemal.

C’est un pan douloureux de l’histoire de l’Anatolie que dévoile ce roman, de la Première Guerre mondiale à la guerre gréco-turque qui s’ensuit jusqu’en 1922. Guerre d’indépendance pour les Turcs, ce moment est en effet désigné par les Grecs comme la Grande Catastrophe. En suivant les pas de Manolis, Dido Sotiriou offre une œuvre historique et d’aventures équilibrée, d’une humanité et d’une limpidité rares, qui a d’ores et déjà acquis le statut de classique.

Traduit du grec par Jeanne Roques-Tesson
Date de sortie : 04 avril 2018
416 pages / 11,5 x 17,5 cm
13,50 euros ttc
ISBN : 978-2-36624-276-8

  

Auteur·trice

Dido Sotiriou

Dido Sotiriou (1909-2004) est née à Aydin en Asie mineure. Après avoir rejoint Athènes à la suite des événements de 1921 dont Terres de sang fait le récit, elle part étudier la littérature en France. Elle y travaille comme journaliste, rencontrant notamment André Malraux et Louis Aragon. De retour en Grèce, tout en continuant de militer, elle poursuit son œuvre littéraire, couronnée en 1989 par le Grand prix national de Littérature, puis par le prix de l’Académie d’Athènes et traduite dans de nombreuses langues.

Presse/Actualités

« Jamais la tragédie des Grecs d’Asie Mineure n’a résonné aussi bien que par les mots de Dido Sotiriou. Un monument historique et littéraire où le sang côtoie les larmes. »
Librairie Kyralina

« Dido Sotiriou offre une œuvre historique et d’aventures équilibrée, d’une humanité et d’une limpidité rares, qui a d’ores et déjà acquis le statut de classique. »
Librairie Tropismes

« Terres de sang n’est pas une leçon d’Histoire, ni une dénonciation. La violence est des deux côtés. Le roman, en adoptant une approche très intime, fait de la Grande Catastrophe un moment terriblement humain. »
La Petite Revue

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