« L’universalité de l’écriture de Krasznahorkai est comparable à celle que l’on trouve dans Les Âmes mortes de Gogol et surpasse de loin toutes les préoccupations bien moindres de la littérature contemporaine. »
– W.G. Sebald
« Krasznahorkai est le maître hongrois de l’apocalypse qui soutient la comparaison avec Gogol et Melville. »
– Susan Sontag
« SEIOBO est un feuilletage d’épiphanies, qu’elles sé dérobent ou qu’elles s’offrent totalement. Il est question de beauté qui fait retour et de notre regard, plus ou moins disponible à elle. La ville de Kyoto, ville d’allusions, la ville de Florence et sa peinture, la ville de Paris et ses musées, il n’y a point de limites géographiques au voyage proposé. »
– Marie Richeux, France Culture « Par les temps qui courent »
« Avec Seiobo est descendue sur terre, le styliste hongrois aux phrases incommensurables – elles courent, à la fois élastiquement et nerveusement, sur deux pages et demie sans faiblir ! – se révèle maître de l’épiphanie créatrice. […] László nous embarque. Ses circonlocutions amples, exigeantes, documentées, tout comme sa vision altissime, énigmatique voire fantastique, ne font jamais obstacle à la lecture. Elles nous hissent en toute sa clarté aveuglante vers de sommets, où le mysticisme le dispute à l’absurde. Dans ce livre profus et clair, on entend même les silences. »
– Antoine Perraud, La Croix
« Le grand auteur hongrois revient avec un livre étonnant nous interrogeant sur l’art, la beauté et un sens du sacré submergé par le chaos. […] László Krasznahorkai ne cesse d’arpenter les champs de ruines de notre humanité en déshérence. »
– Sean James Rose, Livres Hebdo
« À la fois visionnaire et virtuose, […] il mêle le suspense aux descriptions méticuleuses, pousse le sublime et l’horreur jusqu’à la fascination, et donne une vie magique et angoissante à de mystérieuses œuvres d’art, qui transgressent les lois humaines en surgissant dans la réalité. »
– Yvette Goldberger-Joselzon, Le Courrier de l’Europe centrale
« La beauté est de ce monde. La preuve à chacune de ces 400 pages. »
– Librairie L’Arbres à lettre (Paris)
« C’est un livre splendide, au souffle intemporel. C’est un livre énorme et nuageux, étonnant à l’extrême, qui embrasse l’art et le temps…Il faut lire László Krasznahorkai : retenez ce nom! »
– Librairie Tropismes (Bruxelles)
« Expérience de lecture unique, ses romans foisonnent, les phrases travaillent à l’extrême, dérivent et reviennent à leur départ. Réflexion sur l’art, la création et la quête du sacré, cette nouvelle ‘épopée’ est une priorité de tout lecteur… dans une excellente traduction de Joëlle Dufeuilly. »
– Librairie Maupetit (Marseille)
« Krasznahorkai n’est pas un écrivain qui raconte le monde ; il le révèle ! Par la puissance de sa langue, ses livres acquièrent la dimension d’une épiphanie. […] Comme Jaume Cabré, Krasznahorkai au travers de ses romans et nouvelles est à la recherche de la vérité de l’homme. Seiobo est descendue sur terre est une méditation sur le pouvoir de l’art et de la puissance des émotions que l’on peut ressentir dans notre vie esthétique, lire ces textes c’est aussi une façon de partir comme c’est le cas pour les personnages à la recherche de ce qu’il y a de sacré dans l’homme et dans l’art. C’est un roman porté par une foi puissante dans les pouvoirs de l’art, un livre solaire ! […] Un véritable chef d’œuvre. »
– Librairie Ombres Blanches (Toulouse)