Un dernier verre au bar sans nom (poche collector)

13,50

Traduit par

Fin des années 1950, entre San Francisco et Portland, alors que la Beat Generation rebat les cartes de la littérature sur fond de jazz, un groupe de jeunes gens rêve d’une vie d’écriture. Charlie revient de la guerre de Corée avec le puissant désir d’écrire « le Moby Dick sur la guerre ». Sur les bancs de la fac, il rencontre la très talentueuse Jaime, rejetonne de la classe moyenne. Coup de foudre quasi immédiat. Mais au temps de l’amour succède celui de l’apprentissage, et les rêves vont devoir s’accommoder des tours joués par la vie. Quels écrivains vont devenir Charlie, Jaime et leurs amis : le flamboyant Dick Dubonet, le voyou orphelin Stan Winger ou encore le discret Kenny Gross ? Un ex-taulard peut-il intégrer le monde des lettres ? Un écrivain peut-il vraiment conquérir Hollywood ? Roman d’apprentissage littéraire, mais aussi roman d’amour et d’amitié où l’alcool coule à flots, Un dernier verre au bar sans nom, œuvre posthume, réunit tous les thèmes chers à Don Carpenter.

Date de parution : 1er février 2023
Traduit de l’anglais (États-Unis)
par Céline Leroy
504 pages / 115 x 175 mm
13,50 euros ttc
ISBN 978-2-36624-738-1

  

Auteur·trice

don carpenter cambourakis

Don Carpenter

Don Carpenter est né à Berkeley, Californie, en 1931. Après des études à Portland, il s’installe au début des années 1960 à San Francisco. Conforté par le succès public et critique de Sale temps pour les braves, il se consacre entièrement à l’écriture et travaille comme scénariste pour Hollywood. Divorcé et accablé par la maladie dès le début des années 1980, Carpenter mène une vie d’ermite dans son petit appartement de Mill Valley où il met fin à ses jours en 1995, dix ans après le suicide de son grand ami Richard Brautigan. Il est l’auteur d’une dizaine de romans. Toute son œuvre a été traduite par Céline Leroy.

Presse/Actualités

« Don Carpenter a le chic, en trois répliques bien senties, pour créer un décor auquel on croit dur comme fer. (…) peut-être le meilleur de Don Carpenter » Héléna Villovitch, Elle

« On pense à Richard Brautigan, à John Fante, à tous ces auteurs que Don Carpenter fréquentaient. » Christine Ferniot, Télérama

« [Don Carpenter] réinvente la Beat Generation » Frédéric Potet, Le Monde

« Un dernier verre au bar sans nom est un beau roman souvent drôle, parfois cruel, toujours nimbé d’une lumière mélancolique : le Tendre est la nuit d’un écrivain qui, un demi-siècle après Fitzgerald, a connu les mêmes rêves, les mêmes succès, les mêmes chutes. » Christophe Mercier, Le Figaro

« Un classique instantané, chef-d’oeuvre posthume de Don Carpenter, géant méconnu des lettres américaines. » Elisabeth Philippe, Vanity Fair

« Jamais Carpenter ne parvient à dire ce qui fait un bon auteur, un bon livre, et c’est tant mieux. Il se contente d’en écrire un, fluide, formidablement évocateur, drôle, nostalgique. Sa dernière preuve par l’acte. » Isabelle Rüf, Le Temps

« Porté par un talent et une écriture qui vrillent dès les premiers mots, une maîtrise du récit et une puissante humanité, voici « un dernier verre »
délectable. » Geneviève Simon, La Libre Belgique

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